Mittwoch, 16. September 2009
Dienstag, 8. September 2009
CE 205/06 Climat : le réchauffement planétaire est déjà fini
entnommen: Correspondance europeene vom 8.9.2009
L’ouvrage de Ian Plimer, Heaven and Earth, où il dénonce l’imposture de l’environnementalisme et de la pollution comme facteurs de changement climatique, suffira-t-il à inverser la tendance ? De plus en plus de scientifiques marquent leur accord avec ses thèses, même ceux qui s’étaient tus jusqu’ici. Le géologue australien, professeur à Adelaide University, rejette la thèse d’un réchauffement climatique causé par l’homme.
Cette idée lui apparaît comme « une fiction dangereuse et économiquement ruineuse ». Il ne nie pas le réchauffement climatique qui, d’après les observations les plus fiables, serait terminé depuis 2003, mais il dénonce ce « first-world luxury » qu’est l’environnementalisme dénué de toute base scientifique. « L’hypothèse que l’activité humaine puisse provoquer un réchauffement mondial est intenable car elle est contraire à nos connaissances scientifiques en physique solaire, astronomie, histoire, archéologie et géologie. Je suis géologue et les géologues ont toujours reconnu que le climat change avec le temps. Mais nous différons des partisans du AGW (‘anthropogenic global warning’) dans l’échelle d’observation. Ils ne sont intéressés que par les 150 dernières années. Notre spectre temporel est de 4 567 millions d’années » (“The Spectator”, 11 juillet 2009).
Ce que le Professeur Plimer explique, c’est que la glace polaire n’a existé sur terre que pendant 20 % du temps géologique, que l’extinction de certaines formes de vie est normale, que les changements climatiques sont cycliques, que le CO2 dans l’atmosphère, auquel l’activité humaine ne contribue que pour une fraction minime, ne représente que 0,001 % de la quantité totale de CO2 contenue dans les océans, les roches, l’air, le sol et les êtres vivants, que le CO2 n’est pas un agent polluant mais un aliment pour les végétaux, que les plus chaudes périodes – comme celle où les Romains cultivaient la vigne jusqu’au Mur d’Hadrien – ont été des périodes de richesse et d’abondance.
Plimer n’est pas aimé pour ses convictions. Les éditeurs se méfient de lui et refusent de le publier. Il reçoit des menaces de mort. On l’accuse d’être un criminel ou un être immoral. Mais Plimer voir les choses d’un autre œil. Pour lui, la « culpabilité environnementale » est typique d’une société riche. « C’est la nouvelle religion des populations urbaines qui ont perdu leur foi chrétienne. Les rapports de l’IPCC (International Panel on Climate Change) sont leur Bible. Al Gore et Lord Stern sont leurs prophètes ». L’environnementalisme fait office de religion à travers les attitudes religieuses qu’il crée chez les gens. Une nouvelle morale écologique a vu le jour. On est prêt à faire des sacrifices financiers importants par respect pour l’environnement. La terre est devenue une déesse et l’homme bientôt un intrus. (C. B. C.)
L’ouvrage de Ian Plimer, Heaven and Earth, où il dénonce l’imposture de l’environnementalisme et de la pollution comme facteurs de changement climatique, suffira-t-il à inverser la tendance ? De plus en plus de scientifiques marquent leur accord avec ses thèses, même ceux qui s’étaient tus jusqu’ici. Le géologue australien, professeur à Adelaide University, rejette la thèse d’un réchauffement climatique causé par l’homme.
Cette idée lui apparaît comme « une fiction dangereuse et économiquement ruineuse ». Il ne nie pas le réchauffement climatique qui, d’après les observations les plus fiables, serait terminé depuis 2003, mais il dénonce ce « first-world luxury » qu’est l’environnementalisme dénué de toute base scientifique. « L’hypothèse que l’activité humaine puisse provoquer un réchauffement mondial est intenable car elle est contraire à nos connaissances scientifiques en physique solaire, astronomie, histoire, archéologie et géologie. Je suis géologue et les géologues ont toujours reconnu que le climat change avec le temps. Mais nous différons des partisans du AGW (‘anthropogenic global warning’) dans l’échelle d’observation. Ils ne sont intéressés que par les 150 dernières années. Notre spectre temporel est de 4 567 millions d’années » (“The Spectator”, 11 juillet 2009).
Ce que le Professeur Plimer explique, c’est que la glace polaire n’a existé sur terre que pendant 20 % du temps géologique, que l’extinction de certaines formes de vie est normale, que les changements climatiques sont cycliques, que le CO2 dans l’atmosphère, auquel l’activité humaine ne contribue que pour une fraction minime, ne représente que 0,001 % de la quantité totale de CO2 contenue dans les océans, les roches, l’air, le sol et les êtres vivants, que le CO2 n’est pas un agent polluant mais un aliment pour les végétaux, que les plus chaudes périodes – comme celle où les Romains cultivaient la vigne jusqu’au Mur d’Hadrien – ont été des périodes de richesse et d’abondance.
Plimer n’est pas aimé pour ses convictions. Les éditeurs se méfient de lui et refusent de le publier. Il reçoit des menaces de mort. On l’accuse d’être un criminel ou un être immoral. Mais Plimer voir les choses d’un autre œil. Pour lui, la « culpabilité environnementale » est typique d’une société riche. « C’est la nouvelle religion des populations urbaines qui ont perdu leur foi chrétienne. Les rapports de l’IPCC (International Panel on Climate Change) sont leur Bible. Al Gore et Lord Stern sont leurs prophètes ». L’environnementalisme fait office de religion à travers les attitudes religieuses qu’il crée chez les gens. Une nouvelle morale écologique a vu le jour. On est prêt à faire des sacrifices financiers importants par respect pour l’environnement. La terre est devenue une déesse et l’homme bientôt un intrus. (C. B. C.)
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